Le commerce reste assez dynamique dans les zones où la vaccination des animaux a été largement prise en compte par les éleveurs dont le débouché majeur est l’export. Du côté des non vaccinés, l’impossibilité d’exporter vers l’Espagne et le manque d’ateliers d’engraissement en France posent des difficultés. Les tarifs des broutards U sont revus à la baisse pour des mises en place régionales, tandis que les cours des animaux de second choix, croisés ou légers sont malmenés.

En bovins d’embouche et d’élevage, les sorties hivernales sont plus étoffées, mais le marché reste fluide.