Les quelques opérations commerciales se font dans un climat assez tendu. Si les tarifs se stabilisent pour les bons broutards charolais ou limousins de 350 à 450 kg, les sujets lourds sont malmenés. L’export en vif, sous le feu de l’actualité à cause de la canicule, se complique vers le Maghreb. Les tarifs des bonnes charolaises préparées pour l’Italie se tiennent. Le placement est plus laborieux dans la moyenne marchandise à destination de l’Espagne. En bovins d’embouche et d’élevage, davantage d’animaux manquent de préparation, touchés par les fortes chaleurs. Les engraisseurs ciblent les bonnes femelles à finition rapide. Une partie du bétail maigre affiche des tarifs en baisse.