Les acheteurs ont des besoins limités et tentent de faire baisser les prix. L’offre mesurée permet d’atténuer cette pression chez les broutards de moins de 350 kg. Les tarifs des bons taurillons ou des broutards lourds préparés pour l’export se tassent. Les animaux de choix secondaire sont soumis à un tri sélectif. Les échanges se compliquent pour les charolais, limousins ou blonds d’Aquitaine. En femelles, les bonnes charolaises vaccinées pour l’export restent demandées. En bovins d’embouche et d’élevage, l’écoulement est assez régulier dans les bonnes femelles lourdes. La demande est plus réservée pour le bétail à sortir cet automne.