L’activité reste fluide et l’offre peu abondante là où la pousse de l’herbe est précoce. La qualité des bons broutards d’herbe est recherchée et participe à la tenue des prix. À l’export, les flux vers l’Italie sont ponctuellement amoindris, mais les gros ateliers conservent des besoins de rotation réguliers et ne peuvent se permettre trop d’à-coups. Sur l’Espagne, les besoins restent limités. En femelles, les sorties à l’export sont constantes et les prix se maintiennent. En bovins d’embouche et d’élevage, les flux restent réguliers dans le bétail de gabarit à finition rapide et à herbager. Les tarifs sont toutefois peu évolutifs. Les sujets trop maigres ou âgés sont peu demandés.