Les engraisseurs italiens sont peu demandeurs, d’où une vente plus difficile en mâles de 350 à 450 kg. Les taurillons de second choix peinent à se placer. À Moulins-Engilbert, les charolais U de 250 à 300 kg s’échangent autour de 2,76 €/kg vif, et les U de 350 à 400 kg perdent quelques centimes et se vendent de 2,62 à 2,76 €/kg vif.
Sur les marchés de l’Ouest, l’offre suffit à couvrir les besoins. À Châteaubriant, les charolais ou limousins U de 300 à 350 kg se placent entre 830 et 900 €.
En laitonnes, la demande reste axée sur les femelles lourdes. Les tarifs des sujets de second choix, peu recherchés par les exportateurs, se creusent.