Dans le haut de gamme, le commerce est relativement calme. Les tarifs se stabilisent après la hausse des dernières semaines dans les blondes d’Aquitaine, aubracs et parthenaises de qualité bouchère. Les besoins se concentrent sur les animaux de milieu et d’entrée de gamme pour la fabrication de viande hachée, dont les tarifs ne cessent de progresser.
En réformes laitières, les sorties sont un peu plus étoffées, permettant aux industriels de retrouver un certain équilibre. Ces derniers cherchent à limiter les hausses de prix dans les prim’holsteins, normandes et montbéliardes. La demande reste soutenue pour les taureaux de réforme. En jeunes bovins, les échanges sont réguliers et les tarifs restent bien orientés, dans le sillage des autres pays européens.