Les tarifs sont stables dans les animaux de qualité bouchère. En réformes allaitantes, l’offre tend à progresser. La hausse des prix annoncée ne profite qu’à une part des charolaises de moins de 10 ans. Les vaches R = se négocient à des tarifs moindres. Avec la sécheresse, le nombre d’animaux légers ou en manque de finition risque de s’étoffer. En réformes laitières, l’offre est suffisante. Les cours sont stables pour les bonnes vaches prim’holsteins, normandes et montbéliardes lourdes.

En jeunes bovins, l’activité commerciale reste atone sur l’Italie. Les importations pénalisent la production française. La stabilité des prix pourrait être remise en cause au regard des stocks.