En races à viande, la demande mesurée est contrebalancée par de faibles disponibilités. L’activité commerciale reste régulière dans le domaine des femelles de qualité bouchère. Du côté des allaitantes de choix secondaire, le marché est à l’équilibre et les tarifs se tiennent.

En réformes laitières, à dix jours du début des vacances de la Toussaint, les industriels couvrent leurs besoins et maintiennent leurs tarifs dans les bonnes vaches prim’holsteins, normandes ou montbéliardes. Une pression est en revanche exercée sur les animaux d’entrée de gamme P-1 et P-2. En taureaux de réformes, les cours se maintiennent sans difficulté.

En jeunes bovins, l’offre sur le marché européen reste largement déficitaire, conduisant à une revalorisation des prix.