Les transactions sont normales et les tarifs des bonnes blondes d’Aquitaine lourdes, parthenaises, charolaises et limousines et des allaitantes de choix secondaire se maintiennent. Les animaux haut de gamme sont réservés pour les concours de Pâques, qui débuteront le 26 mars à Montluçon. Les femelles d’entrée de gamme, souvent en manque de finition, se vendent sans difficulté dans le maigre. L’offre de réformes laitières est un peu plus étoffée et couvre la demande. Les tarifs pratiqués sont relativement stables, même si des écarts de valorisation sont observés entre régions et abatteurs. En jeunes bovins le carême orthodoxe recentre les mouvements sur l’Italie. Cet afflux de marchandise pèse sur la tendance.