Les remontées de prix entrée abattoir font apparaître des tarifs compris entre 4 et 4,10 €/kg pour les U. Les tarifs restent stables pour les blonds d’Aquitaine de moins d’un an, avec encore quelques retards de sortie. Les blonds lourds se commercialisent normalement de 4,12 à 4,22 €/kg.

 

En réformes allaitantes, la tendance est au plafonnement des prix des femelles de qualité bouchère, avec un peu moins de besoins après le réapprovisionnement des boucheries. Les races blondes d’Aquitaine et parthenaises se vendent avec plus de difficulté, mais pour des tarifs sans grand changement. Les vaches U de plus de 500 kg se vendent de 4,70 à 4,80 €/kg, très peu atteignent les 5 €. Les bonnes charolaises se maintiennent entre 3,80 et 4,12 €/kg.

 

Les allaitantes convenables (R= à R+) de plus de 400 kg se négocient de 3,65 à 3,70 €/kg et l’entrée de gamme de 3,35 à 3,50 €/kg.

 

La tendance est à la stabilité des prix pour les réformes laitières. Les bonnes normandes lourdes se négocient de 3,30 à 3,35 €/kg.

 

Les prim’holsteins sont également stables, avec une fourchette tarifaire allant de 2,85 à 2,97 €/kg pour les P +/O– à Cholet. Elles montent jusqu’à 3 €/kg en livraison directe dans certains outils industriels.

La fourchette tarifaire est très large pour les vaches de gamme intermédiaire, avec de gros écarts de valorisation pour les P= en fonction du poids et de la finition.

 

Les vaches inférieures P–1 et 2 restent malmenées et se valorisent entre 1,50 et 2 €/kg.