Pour la FNDP, « au-delà de la mort des animaux, c’est un drame humain aux ramifications psychologiques et émotionnelles dévastatrices pour les éleveurs et leurs familles qui va bien au-delà de l’aspect économique pourtant énorme. » L’association estime que toute la vallée subit les conséquences de ce drame.

 

« Au nom d’une idéologie pseudo-écologiste, alors qu’il est acquis scientifiquement que le pastoralisme est indispensable au maintien de la biodiversité des prairies naturelles, on impose une défense inconditionnelle des grands prédateurs dans tous les espaces anthropiques, quelles qu’en soient les conséquences économiques et psychologiques sur les populations directement concernées, alors même que la seule solution efficace à ce jour pour stopper ces actes de prédation est de procéder, sans larmes et sans atermoiements déplacés, à des tirs létaux systématiques sur les animaux incriminés. »

 

Dans ces conditions, l’arrêté publié le 29 juin concernant les mesures d’effarouchement risque d’être très timoré pour les militants.