Ils sont 1 000 à avoir répondu à cette étude : des agriculteurs et des agricultrices âgés de moins de 55 ans installés pour 55 % en polyculture-élevage, pour 36 % en grandes cultures et pour 9 % en cultures spécialisées. Si l’étude porte sur la relation future avec son concessionnaire local, une des questions concerne la distribution et la maintenance des nouvelles technologies. Parmi les sondés, seulement 33 % sont des utilisateurs d’outils d’aides à la décision. Pour les autres, 28 % envisagent d’y recourir dans les cinq prochaines années.

Seuls 3 % des agriculteurs font confiance aux start-ups

Cette nouvelle appétence pour la technologie semble profiter aux concessionnaires qui font visiblement figure d’intermédiaire de confiance. En effet, 74 % des personnes ayant répondu estiment que leur concessionnaire est le mieux placé pour leur conseiller, leur vendre et assurer la maintenance des solutions d’agriculture de précision, devant les constructeurs eux-mêmes qui comptabilisent 14 % des voies. Les start-ups, pourtant porteuses d‘un grand nombre de solutions, n’ont pas les faveurs des agriculteurs avec seulement 3 %.