Le choix variétal pourrait être un levier pertinent car le sanglier sait choisir la variété qu’il préfère, notamment au stade grains laiteux. Cependant, selon Jean-Baptiste Thibord, cette préférence est davantage liée au stade, plus ou moins avancé, qu’à la variété elle-même. Le type de travail du sol est un autre levier possible, mais difficile à actionner : en effet, les situations limitant les dégâts de sangliers sont aussi les moins favorables au bon développement du maïs (sols compactés). Enfin, l’agrainage est une solution déployée par certains agriculteurs qui, correctement géré, peut donner satisfaction : il est néanmoins sujet à débat et soumis à une réglementation.