L’animal tué le 15 août est une jeune femelle adulte de 25 kg. Celui abattu le 17 août est un jeune mâle adulte de 35 kg. Les cadavres ont été pris en charge par les agents de l’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) et déposés jeudi au laboratoire départemental d’analyses vétérinaires afin d’y réaliser les prélèvements nécessaires.

Analyses en cours

Les opérations ont été mises en œuvre par les lieutenants de louveterie intervenant sur ces deux secteurs, avec le concours de chasseurs habilités, sous le contrôle technique de l’ONCFS. Ces abattages font suite à la délivrance d’autorisations « de tirs de défense renforcée » à des éleveurs victimes d’attaques récurrentes sur leurs troupeaux.

Les animaux abattus seront décomptés du quota établi par l’arrêté du 18 juillet 2017 fixant à 40 le nombre maximum de loups dont la destruction pourra être autorisée sur le territoire français pour la période allant du 1er juillet 2017 au 30 juin 2018.

AFP