En effet, en novembre dernier, alors qu’on ne parlait encore que d’une crise de l’élevage, les banques se montraient très réticentes à utiliser cet outil massivement, préférant leurs solutions en interne et au cas par cas. Avant de se précipiter, il ne faut néanmoins pas perdre de vue que le dispositif de l’année blanche a aussi un coût pour l’agriculteur.
Le ministre de l’Agriculture présentera ses propositions pour faire face à la crise des céréales « autour du 20 septembre ».