À la suite de la diffusion de cette vidéo, le préfet de la Drôme a annoncé le 21 mars 2019 avoir saisi la Direction départementale de la protection des populations (DDPP) et une enquête administrative est en cours. Ses résultats, assure la préfecture, seront immédiatement rendus publics.
Spécialisée dans l’élevage, l’abattage, la transformation de cailles ainsi que les œufs de caille, l’entreprise drômoise où L214 affirme avoir réalisé sa vidéo, n’a pas donné suite aux sollicitations de l’AFP. L214 affirme que toutes les cailles pondeuses sont élevées en cage et qu’il n’existe aucune législation spécifique pour encadrer leurs conditions d’élevage.
En avril 2016, à l’occasion du lancement du plan d’action national pour le bien-être des animaux, le ministère de l’Agriculture avait assuré n’avoir eu aucune remontée de cas de maltraitance dans des élevages de cailles, lors des contrôles effectués chaque année. Ce que réfute l’association.