. C’est son plus haut niveau pour un mois de mars depuis 2013.
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Un commerce porteur avec l’Union européenne
Cette évolution est le résultat d’une augmentation plus forte (+1,1 milliard d’euros) des exportations que des importations (+701 millions d’euros). Et en particulier des échanges de produits agricoles bruts avec l’Union européenne, parmi lesquels figurent les céréales.

« Le solde des produits agricoles bruts augmente de 310 millions d’euros sur un an pour atteindre 503 millions sous l’effet de la hausse des exportations, principalement de céréales », observe Agreste. Cette progression « fait plus que contrebalancer celle des importations ».
40 % de plus sur un an
En valeurs, les ventes françaises de céréales à l’étranger ont bondi de 307 millions, soit 40 % de plus sur un an. « Les quantités expédiées d’une année sur l’autre diminuent vers les pays tiers, mais augmentent de 50 % vers l’Union européenne, notamment vers l’Espagne et les Pays-Bas. »
Et surtout, « les prix moyens à l’exportation augmentent encore sensiblement sur un an pour le blé tendre (+30 %) et les orges (+44 %) ». Dans l’Union européenne, la France expédie du blé vers le Benelux et la péninsule Ibérique, et du maïs vers l’Espagne, le Benelux et l’Italie.
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