Sur les marchés, le commerce est calme, mais les tarifs se maintiennent parmi les blondes, parthenaises, limousines ou aubracs de qualité bouchère.
En revanche, la demande pour les charolaises et les allaitantes de choix secondaire se tasse. Des écarts de valorisation de 0,15 à 0,20 € sont pratiqués en fonction des acheteurs ou des marchés.
En réformes laitières, les abattoirs restent confrontés à un nombre important d’animaux en manque de finition. Cette gamme reste sous pression, alors que les prix des bonnes vaches prim’holsteins ou normandes se maintiennent, faute d’offre suffisante.
En jeunes bovins, les débouchés à l’export restent rares. Le recentrage sur la France se renforce.