Davantage liées à l’aspect traditionnel qu’à la spécificité géographique, les dénominations « Lait de foin de brebis » et du « Lait de foin de chèvre » seront protégées en allemand, anglais, italien et français.
D’après le cahier des charges reconnu à l’échelle européenne, « comme aux origines de la fabrication du lait, la production de lait de foin ne recourt à aucun aliment fermenté » et « l’utilisation d’animaux et d’aliments pour animaux devant être signalés comme génétiquement modifiés en vertu de la législation en vigueur est interdite ». L’épandage, l’emploi d’auxiliaires chimiques sur les cultures ou encore les délais de livraison du lait post-parturition sont également encadrés par le cahier des charges.