En orge d’hiver, la production baisserait de 1,7 % par rapport à 2017 mais bondirait de 8,8 % par rapport à la moyenne 2013-2017. Le rendement avoisinerait les 65 q/ha. Du point de vue de la qualité brassicole, les teneurs en protéines sont bonnes, avec des moyennes régionales situées entre 10 et 11 %.

« Les poids spécifiques sont, quant à eux, moyens à faibles sur tout le territoire », ajoute le communiqué. Par ailleurs, les calibrages sont très bons dans le tiers nord de la France et corrects en Bourgogne Franche-Comté, en Île-de-France et en Poitou-Charentes.

Bonne teneur en protéines

De son côté, la production d’orge de printemps progresserait de 1,8 % par rapport à 2017 et de 6,8 % par rapport à 2013-2017, avec une surface évaluée à 489 000 ha et un rendement de l’ordre de 62,4 q/ha.

Il est toutefois souligné une « forte variabilité de rendements liée aux dates de semis ». Les teneurs en protéines sont bonnes, avec des moyennes régionales de 9,5 % à 10,8 %, et les calibrages sont bons à très bons.

I.E.