« Ces nouvelles modalités de financement n’auront pas d’impact sur le prix de revient final de la semence », assure le Gnis dans un communiqué. La décision a été prise à l’unanimité des 234 membres constituant les cinq collèges du Gnis (sélection, multiplication, production, commerce, utilisation). Cet accord de financement représente un peu plus de 1 % du chiffre d’affaires de la filière.
La CVO, mode de financement commun à l’ensemble des interprofessions, « permettra d’assurer jusqu’en 2021, dans de bonnes conditions, le financement des actions du Gnis » :
- animation des relations interprofessionnelles,
- mesures de contrôle et de certification,
- actions de promotion, d’information et de développement,
- autres actions d’intérêt général (exemples : connaissance de production et du marché, amélioration des techniques de production des semences).