La transaction, décidée en novembre, « reflète la confiance de LDC dans le dynamisme du secteur agricole chinois » et s’inscrit dans « la stratégie du groupe, qui consiste à renforcer sa présence sur les marchés majeurs », a indiqué LDC dans un communiqué. « Le nouvel actif améliorera la capacité de PMA de répondre à la demande croissante de protéines en Chine. »
Couvrant une surface de 300 000 m² dans le port de Tianjin (sud-est de Pékin), le groupe chinois dispose d’une capacité journalière de trituration de soja de 4 000 tonnes, et de 1 200 tonnes pour la production d’huiles végétales comestibles raffinées. Elle est complétée par des lignes d’embouteillage, de remplissage et d’emballage, ainsi que des installations de stockage.