« Avec une anomalie de température de 0,55°C par rapport à la normale 1981-2010, l’été boréal de 2019 se classe ainsi devant les étés 2016 (+0,51°C) et 2017 (+0,43°C) », indique Météo-France dans un rapport paru le 9 septembre 2019. Les pays et villes les plus touchés par ces fortes chaleurs se situent pour la plupart en Europe, en Alaska, dans le nord du Groenland et en Sibérie centrale.
La France aussi a eu chaud
Cette saison estivale aurait été la troisième plus chaude depuis 1979, selon Météo-France. En France, l’été météorologique a été le troisième plus chaud avec une anomalie de +1,7°C, derrière les étés de 2003 (+3,2°C) et 2018 (+2°C). À l’échelle de l’Europe, le constat est identique, avec une anomalie de température de 1,1°C.