Les productions de céréales ont été annoncées en hausse en moyenne de 20 % par rapport à la moyenne décennale par le ministère australien de l’Agriculture, notamment grâce au retour des pluies dans l’État de Nouvelle Galles du Sud, très touché ces dernières années par la sécheresse. Concernant la Russie, l’opérateur logistique RusAgroTrans a, tout comme le cabinet SovEcon, révisé à la hausse son estimation de production de blé russe à 82,5 millions de tonnes.

 

Du côté du maïs, le cabinet Agritel a publié son estimation de production pour cette culture en Ukraine, qu’elle chiffre à 33,5 millions de tonnes, soit 6,5 % de moins que l’an passé, conséquence de l’épisode de sécheresse de ces dernières semaines. Un chiffre bien inférieur aux estimations du ministère américain de l’Agriculture, qui doit publier vendredi son rapport mensuel de septembre.

 

Vers 17 h 00 sur Euronext, la tonne de blé tendre regagnait 3,75 euros sur l’échéance de décembre à 191,50 euros, et 25 centimes d’euros sur l’échéance de mars à 189,00 euros.

 

La tonne de maïs, elle, était proche de l’équilibre, et progressait de 75 centimes sur l’échéance de novembre à 167,5 euros, et était stable sur l’échéance de janvier à 169,00 euros.