Les transactions sont régulières tant sur le marché intérieur que pour l’exportation avec des tarifs stables pour les bons prim’holsteins ou montbéliards. Les bons prim’holsteins se négocient entre 180 € et 200 €/tête. Sur les cadrans bretons, ils peuvent atteindre 220 à 230 €/tête.

 

La grande majorité des veaux laitiers et normands se vendent entre 150 et 180 €/tête. Du côté des montbéliards, les tarifs se maintiennent avec des marchés perturbés par la Pentecôte au début de la semaine. Les veaux standards se négocient entre 220 € et 270 €/tête, tandis que les très bons sujets montent jusqu’à 320 €/tête.

 

Les tarifs des croisés blanc bleu (R) sont stables et compris entre 160 et 220 €/tête pour les taupes et entre 200 à 300 € pour les blanc bleu communs. Les bons croisés montbéliards ou blanc bleu U de conformation se maintiennent entre 400 et 450 €/tête, voire 500 €/tête pour les meilleurs.

 

Le commerce est calme dans les limousins et les charolais, mais les marchés du début de la semaine ont été modestement approvisionnés, ce qui a permis aux prix de se stabiliser. Un report d’approvisionnement est attendu la semaine prochaine, mais les volumes vont se tasser à partir de la mi-juin. Les bons limousins se sont négociés entre 450 et 550 €/tête. Les prix des ordinaires se tassent entre 350 et 400 €/tête tandis que les femelles se vendent 50 €/tête de moins que les mâles.