La proximité de la fin des vacances ralentit quelque peu la demande. Les opérations commerciales de rentrée se font avec des volumes moins soutenus. L’activité commerciale reste très calme, avec des abatteurs qui ne manquent pas de marchandise.
Trop d’agneaux lourds sont présents sur les marchés avec des éleveurs qui ont repoussé leurs ventes en prévision d’une meilleure activité de rentrée, après un été morose. Les éleveurs sont inquiets de l’évolution de la fièvre catarrhale ovine (FCO) dans le Grand Ouest, et s’activent pour vacciner leurs troupeaux.
Les cadrans du centre ont relevé leurs tarifs, pour se rapprocher des niveaux du marché de Parthenay. Les bons agneaux d’herbe ou de bergerie se sont négociés de 3,80 à 4,10 €/kg vif. Les agneaux lourds (plus de 44 kg) sont pénalisés et commercialisés entre 3,40 et 3,70 €/kg vif.
Pour les brebis, la demande italienne se tasse doucement, mais sans impact sur les prix face à des offres mesurées pour la bonne marchandise lourde, qui se valorise encore entre 1,90 à 2,30 €/kg vif. La demande est plus soutenue pour les brebis ordinaires, notamment sur Paris.

 
   

 
             
                                      
                                     
       
       
     
            