L’Aïd-el-Kébir a permis l’écoulement de nombreux agneaux. Si bien que l’offre du mois d’août dans l’Hexagone est nettement moins importante, et peine à couvrir une demande pourtant peu soutenue avec les fortes chaleurs.
Sur les marchés, les transactions sont assez actives. Les éleveurs bénéficient de tarifs en progression et attractifs. Cette tendance positive est bienvenue pour faire face aux frais engendrés par la sécheresse.
En brebis, les bonnes femelles restent recherchées et les tarifs affichent des niveaux stables. En revanche, la demande est plus sélective dans la marchandise en manque de viande ou de finition.