Le mardi 23 avril 2024 sur Euronext, la tonne de blé clôturait à 209,50 € (–6 € par rapport à la clôture précédente) sur l’échéance de mai et à 223 € (stable) sur l’échéance de septembre. La tonne de maïs s’affichait, quant à elle, à 204,25 € (–2,25 €) sur l’échéance de juin et à 207,25 € (–1 €) sur l’échéance d’août.
Ce mercredi 24 avril, vers 11 heures sur Euronext, la tonne de blé s’établissait à 209 € (–0,50 €) sur l’échéance de mai et à 223,50 € (+0,50 €) sur celle de septembre. Le maïs, quant à lui, se présentait à 203,25 €/t (–1 €) sur l’échéance de juin et à 206,50 €/t (–0,75 €) sur août.
La nouvelle récolte inquiète
Avec les basses températures enregistrées sur les plaines depuis la Pologne jusqu’en France, les conditions météorologiques prévues ces prochains jours sont à surveiller. « En nouvelle récolte, le potentiel de production reste évidemment important à suivre d’autant que le volume en Ukraine s’annonce lui aussi inférieur à l’an dernier. Les besoins des pays importateurs semblent en revanche toujours importants », observe Agritel dans une note d’analyse diffusée ce 24 avril.
Selon le chargé de l’USDA (ministère américain de l’Agriculture) en Égypte, la hausse des importations en blé devrait atteindre +2 %, à 11,2 millions de tonnes sur la campagne de 2024-2025.
Après avoir atteint un nouveau record depuis plus de quatre mois, les cours du maïs se sont ensuite essoufflés en fin de journée. « Concernant les importations de ce produit en Europe, le Parlement européen a voté le prolongement des exemptions de droits de douane pour le maïs ukrainien tout comme l’ensemble des productions agricoles », indique Agritel.