Les prix des broutards et taurillons charolais ou limousins de plus de 400 kg restent malmenés. Les mises en place sur l’Hexagone sont limitées. Seuls les ateliers spécialisés maintiennent un roulement des flux. À l’export, les échanges d’animaux plus légers sont facilités par le départ d’un bateau pour le Moyen-Orient. La tendance reste lourde pour les animaux expédiés vers l’Espagne. En femelles, les bonnes charolaises ou limousines de 300 à 350 kg profitent d’une demande italienne. En bovins d’embouche et d’élevage, les femelles lourdes proches de la finition restent demandées par les engraisseurs spécialisés. La demande est plus réservée dans le bétail de second choix.