Les tarifs sont fermes sur les cadrans de Moulins-Engilbert, Châteaumeillant, Saint-Christophe-en-Brionnais ou le marché de Bourg-en-Bresse. Les charolais de 350/400 kg se vendent de 2,60 à 2,74 € en fonction de la qualité. Le commerce reste également soutenu dans les bons limousins, qui se sont négociés de 2,74 à 2,90 € sur le cadran d’Ussel. Les mâles de moins de 350 kg non-vaccinés sont eux aussi recherchés, pour la repousse à l’herbe.

 

Les marchés du sud se sont également bien tenus, avec une fermeté des prix sur les marchés de Rabastens-de-Bigorre, Laissac et Mauriac. L’offre saisonnière tend à s’amenuiser. Les animaux non-vaccinés restent en retrait en termes de valorisation, même s’ils sont un peu plus demandés.

 

Sur les marchés de Cholet et Châteaubriant, l’activité est plus soutenue dans les mâles préparés pour l’export, avec des sujets de 300/350 kg qui se négocient entre 850 et 900 € dans les U. Le commerce reste en revanche très sélectif dans la marchandise en manque d’état ou de moindre conformation, qui se vend de 550 à 650 €.

 

Dans les femelles, le commerce reste très calme. L’offre en marchandise ordinaire est suffisante pour les besoins vers l’Espagne. Le placement est plus régulier pour les bonnes laitonnes charolaises ou limousines destinées au marché italien, également recherchées pour la repousse dans les plus légères.