Les bons charolais se négocient entre 2,44 et 2,52 €/kg vif, et les limousins de 2,60 à 2,74 €/kg vif. Ces tarifs se maintiennent avec plus de difficulté là où la qualité est plus hétérogène.

 

Les écarts de valorisation entre les sujets vaccinés contre la fièvre catarrhale ovine (FCO) et ceux qui ne le sont pas peuvent atteindre 50 à 100 € par animal en fonction de sa conformation.

 

La tendance est lourde sur les marchés multiraces, avec une très grande hétérogénéité des prix en fonction du débouché (marché intérieur ou exportation vers l’Italie ou l’Espagne). Les engraisseurs spécialisés français restent en retrait.

 

Les bateaux prévus pour la Turquie partent, mais l’évolution de la zone réglementée rend les exportateurs plus prudents face aux délais de quarantaine. Sur la zone indemne, les mâles charolais de 300 à 350 kg se négocient entre 2,60 de 2,74 €/ kg vif.

 

Les tarifs des bons mâles blonds d’Aquitaine sont reconduits, mais le tri des sujets communs est plus sévère. Sur le marché de Cholet, les animaux U de 250 à 300 kg se vendent de 980 à 1 030 €. À Rabastens-de-Bigorre, ceux de 150 à 200 kg partent entre 4,20 et 4,60 €/kg.

 

Le commerce de femelles lourdes reste fluide. Les limousines ou charolaises U de 300 à 350 kg trouvent preneur autour de 2,52 €/kg vif. Pas de changement pour les femelles plus communes destinées au marché espagnol.