En Allemagne, la tendance est baissière pour les réformes laitières, avec des vaches O dont les prix repassent sous la barre des 6,00 €. Du côté des jeunes bovins, la demande italienne est également en retrait, avec des tarifs qui se replient légèrement. De son côté, l’Espagne vient de suspendre ses exportations face à la dermatose nodulaire contagieuse (DNC).

En France, les tarifs semblent stabilisés autour de 6,35 à 6,45 €/kg pour les réformes laitières convenables et de 6,50 à 6,70 €/kg pour les montbéliardes, normandes ou abondances.

Pour les races à viande, le commerce reste fluide, malgré le recul des ventes des morceaux à griller. Les tarifs restent soutenus pour les femelles de qualité bouchère, entre 7,60 et 8,00 €/kg quelle que soit la race. La tendance reste positive pour les charolaises R et l’ensemble des allaitantes de choix secondaire, négociées entre 7,10 et 7,40 €/kg.

Pour les jeunes bovins, le commerce est un peu moins actif malgré la modestie de l’offre. Les JB charolais ou limousins U sont vendus entre 7,25 et 7,35 €/kg.