La modestie saisonnière de l’offre permet de maintenir les prix des blondes d’Aquitaine, parthenaises ou aubracs, compris entre 6,80 et 7,20 € pour ces femelles de cheville. Du côté des limousines, charolaises, rouges des prés viandées, la fourchette de prix est retreinte et comprise entre 6,40 et 6,70 €. Les tarifs de l’entrée de gamme R– et O se situent entre 6,00 et 6,30 €.

Pour les réformes laitières, le commerce est contraint par la capacité des abattoirs, avec une activité perturbée par le manque de froid (CO2). Les prix des bonnes vaches prim’holsteins P+/O plafonnent de 5,90 à 5,95 €/kg et le prix des gros des ventes se situe entre 5,75 et 5,85 €. Les tarifs des normandes ou montbéliardes vont de 5,80 à 6,10 €/kg net pour les O et montent à 6,20 € pour les R.

Pour les jeunes bovins, le commerce reste tendu du côté des charolais avec des tarifs autour de 6,40 € pour les U sur les marchés. Les prix des blonds d’Aquitaine sont maintenus avec moins de demande sur la Grèce ou l’Italie du Sud.