Dans les femelles parthenaises, aubracs, blondes d’Aquitaine, limousines ou charolaises de qualité bouchère, le commerce est calme avec des tarifs stables. La modestie de l’offre tend à raffermir la tendance dans les charolaises R et les croisées de choix secondaire. Les charolaises R= sont cotées à 5,25 € sur de nombreux marchés, la fourchette de prix s’étendant de 5,15 à 5,35 €.
Le commerce est fluide dans les réformes laitières avec des tarifs qui se sont ajustés cette semaine. Les bonnes vaches prim’holsteins O– lourdes se sont négociées entre 3,85 et 3,95 €, voire 4 € dans certains abattoirs. Les vaches P= lourdes se vendent entre 3,70 et 3,85 € et les plus légères, entre 4,30 et 4,60 €.
Les vaches P–1 restent faiblement valorisées entre 2,50 et 3 € en fonction du poids et des abattoirs. Les bonnes normandes et montbéliardes R– se négocient entre 4,20 et 4,35 €, et les O se valorisent entre 3,90 et 4,20 € en fonction du poids et de la finition.