En femelles de qualité bouchère, les tarifs ne progressent plus, alors même que la hausse des coûts de production se poursuit. En raison du prix élevé des aliments, les abatteurs observent une finition moins optimale des animaux. Du côté des allaitantes de second choix, l’équilibre entre l’offre et la demande reste favorable. En réformes laitières, l’offre est juste suffisante, mais les acheteurs semblent vouloir stabiliser les prix, qui ont progressé de 1,80 à 2,00 € sur un an. Ceci pourrait atténuer la rétention chez certains éleveurs. En taureaux de réforme, les besoins sont soutenus, bien que les tarifs tendent également à se stabiliser. En jeunes bovins, les flux restent réguliers, mais les prix des charolais et des limousins n’augmentent plus. Le commerce des blonds reste très actif à l’export.