Sur les marchés, la période de rentrée scolaire permet de retrouver un débouché plus régulier vers la restauration collective. En blondes d’Aquitaine, partenaises, limousines ou charolaises de qualité bouchère, les échanges sont assez fluides et les prix stables. Les tarifs des génisses et des vaches R se maintiennent, mais le tri reste marqué dans le bétail d’entrée de gamme ou âgé de plus de 10 ans.
En réformes laitières, le commerce est à l’équilibre. Les tarifs des vaches prim’holsteins, montbéliardes et normandes bien finies restent stables.
En jeunes bovins, les retards de sortie ne sont toujours pas résorbés et les prix sont au plancher.