Sur les marchés, l’offre est plus mesurée après les concours dans les bonnes femelles blondes d’Aquitaine, limousines et aubracs de qualité bouchère, ce qui permet de maintenir les prix. La tendance est plus lourde en charolaises ou allaitantes de milieu de gamme. En réformes laitières, les besoins sont facilement couverts. Les prix baissent sensiblement en prim’holsteins, normandes et montbéliardes de milieu de gamme. La demande est également moins soutenue dans les taureaux de réformes. En jeunes bovins, le placement sur le marché intérieur français reste difficile. La tendance est lourde en charolais et les JB de coupe. Les tarifs se maintiennent en blonds d’Aquitaine.