La demande est peu soutenue dans les animaux haut de gamme. Cependant, le niveau de l’offre ne permet pas aux acheteurs de peser sur les prix. Les tarifs se maintiennent dans les bonnes génisses et les jeunes vaches blondes d’Aquitaine, parthenaises, limousines ou charolaises bien conformées. Les aubracs conservent leur débouché dans de nombreux restaurants parisiens.

En réformes laitières, le commerce reste régulier en prim’holsteins, normandes et montbéliardes. La demande est plus ferme dans les taureaux de réforme.

En jeunes bovins, les laitiers se maintiennent, malgré la faiblesse de la demande.