« Les experts ont conclu que, malgré les efforts concertés pour enrayer la propagation de la peste porcine africaine chez les sangliers, l’homme a joué un rôle essentiel dans la diffusion de la maladie, par exemple en se débarrassant des restes de carcasses de sangliers infectés », détaille l’Efsa.
Dans son communiqué, l’Agence explique que dans la lutte contre la maladie, partager les meilleures pratiques est « essentiel pour enrayer sa propagation », notamment à travers l’utilisation de « méthodes de détection précoce » et l’adoption de « mesures d’urgence rigoureuses ».
Aujourd’hui, six États membres sont touchés par la peste porcine africaine : la Pologne, les États baltes, et depuis cette année, la Roumanie et la République tchèque.