Jusqu’à maintenant, la pression sanitaire du mildiou reste faible sur une grande partie des zones productrices de pomme de terre.

Bâcher ou chauler

Les chambres d’agriculture restent cependant vigilantes et rappellent qu’il est important de ne pas négliger la destruction des repousses ainsi que la suppression des déchets de culture.

Des contaminations au mildiou ont en effet été observées sur les tas de déchets qui n’ont pas été gérés, et représentent donc une source d’inoculum du champignon. Il est conseillé de ne pas attendre la reprise de végétation pour bâcher les tas de déchets, ou les traiter à la chaux vive.