, les abattages d’agneaux enregistrés en juillet sont en hausse de 0,5 %, en nombre de têtes, sur un an. Cette hausse, qui se monte à 1,7 % en tonne-équivalent carcasse, s’explique notamment par « une anticipation de l’abattage des animaux en raison de la sécheresse ».

 

Forte concurrence sur les étals

Une offre en hausse donc, mais confrontée à une consommation intérieure qui marque le pas du fait des fortes chaleurs estivales, ainsi qu’à des importations croissantes de viande ovine à bas prix en provenance de la Nouvelle-Zélande, de l’Irlande et du Royaume-Uni.

 

Résultat, le cours de l’agneau s’est effondré à 5,89 €/kg de carcasse en juillet, soit une baisse de 6,4 % sur un an. Il se situait encore au-dessus des 6,50 €/kg en avril dernier.