Cap Ours, le collectif d’associations pour la défense du plantigrade, met en garde ceux qui auraient l’intention de perturber Claverina et Sorita, les deux ourses héliportées dans le Béarn. L’association rappelle que « la destruction d’une espèce protégée est un délit sanctionné d’une peine de 2 ans de prison et/ou 150 000 € d’amende. En cas de destruction « en bande organisée », la sanction est majorée et peut aller jusqu’à 7 ans d’emprisonnement et 750 000 € d’amende. »
Cap Ours appelle à la vigilance et demande aux utilisateurs de la montagne d’être « à la recherche de tout indice qui peut faire penser à une action de braconnage d’ours » et de « faire remonter tout signe suspect ».