26 % d’entre eux envisagent plutôt une baisse et 19 %, une hausse. Par rapport à 2018, les superficies maïs devraient donc être en légère diminution.

 

Selon les orientations des exploitations, c’est en polyculture-élevage que la baisse envisagée est la plus importante (30 % des interviewés).

 

Au niveau des régions, la hausse la plus forte est prévue dans le Centre (31 %) et dans le Nord-Est (27 %).

 

L’enquête a été réalisée par téléphone du 10 au 15 janvier 2019 auprès de 502 chefs d’exploitation agricole ayant au moins 50 ha de SAU. L’échantillon est représentatif à 97 % des exploitations de plus de 50 ha de SAU.