où ils se désolent que leurs propositions n’aient pas été retenues. Ils se disent « consternés » par le discours du ministre de la Transition écologique. « Les éleveurs qui subissent la prédation sont à bout, souligne l’Usapr. Si le plan entre en vigueur tel qu’il a été annoncé, la situation sur le terrain risque devenir incontrôlable. »
Élus et éleveurs pointent « l’incohérence des politiques publiques. […] Alors que les dotations allouées aux communes sont réduites, comment expliquer aux habitants et aux contribuables les coûts de la prédation en constante augmentation », indiquent-ils. Pour la survie de l’agropastoralisme, « il faut rouvrir des négociations pour examiner vraiment nos propositions ».