La colère monte face aux dégâts des sangliers dans la Puisaye et le Berry, en recrudescence cet automne à cause de la sécheresse. La fédération des chasseurs et l’administration incitent à davantage de prélèvements. Des lieutenants de louveterie ont réalisé des tirs de nuit pour protéger les cultures. Sans amélioration de la situation, la préfecture pourrait procéder à des battues administratives. En 2017, 1 500 ha avaient été ravagés pour plus d’1 M€ d’indemnités.