Les autorités sanitaires algériennes sont sur le qui-vive depuis plusieurs semaines. Après la découverte d’un foyer de grippe aviaire en février dernier, qui a provoqué l’abattage de 2 000 oiseaux, un autre foyer, cette fois dans un élevage de volailles situé dans le nord-est du pays, a été détecté début mars. La filière est chahutée à l’export. La Chine, la Mauritanie ainsi que la Russie ont décidé de suspendre temporairement leurs importations.