Le réservoir d’un barrage dans le centre de l’Irak, connu sous le nom de lac Hamrine, est quasi asséché en raison d’une chute des précipitations et d’une baisse du débit de l’eau. Bagdad accuse régulièrement la Turquie et l’Iran d’être responsables de cette réduction du débit, conséquence de la construction de barrages en amont sur les fleuves. Interrogé par l’AFP, un responsable local a pointé du doigt son impact sur la région agricole de Diyala, où il n’existe pas d’autres sources d’eau.