Les réserves en eau de l’Irak ont baissé de moitié par rapport à 2021en raison d’aléas climatiques, ce qui a contraint le pays à réduire de moitié les zones cultivées pour la saison 2021-2022. L’Irak est un pays riche en hydrocarbures, mais un des cinq États au monde les plus vulnérables au changement climatique selon l’AFP. La Banque mondiale estime qu’en l’absence de politiques adaptées, le pays connaîtra d’ici 2050 une chute de 20 % de ses ressources en eau douce disponible.