L’agence publique, gérant depuis 1992 les terres collectivisées sous la RDA, a décidé, début mai, l’arrêt de sa politique de privatisation. Elle s’adapte à la ligne du gouvernement d’Olaf Scholz. Les quelque 90 000 hectares, encore dans son giron, seront exclusivement mis en fermage pour l’agriculture biologique. Berlin veut ainsi participer à la réalisation de ses objectifs climatiques.