Cette somme s’ajoute aux 40 millions d’euros déjà investis dans cette usine en 2015 et « marque une forte accélération du groupe dans ses activités liées aux protéines de pois afin de répondre à une demande mondiale croissante », selon le communiqué.

En janvier, le groupe avait déjà investi 300 millions d’euros pour construire un nouveau site de production au Manitoba, au Canada. D’ici à 2019, ces deux sites de production « représenteront une capacité combinée de valorisation du pois de près de 250 000 tonnes par an », précise Roquette.

Forte demande des consommateurs

De quoi répondre à « la demande en protéines végétales pour la nutrition humaine qui connaît une croissance considérable, portée notamment par la volonté des consommateurs de prendre soin de leur santé et la préoccupation de ceux-ci en termes de développement durable », explique Roquette.

L’industriel liste les nombreuses applications des protéines de pois dans « l’alimentation sans gluten, la nourriture végétarienne, l’alimentation diététique ou pour les sportifs, la nutrition clinique et l’alimentation traditionnelle ».

La production de protéines de pois présente également des avantages pour les agriculteurs, puisqu’elle est « respectueuse de l’environnement », précise Roquette.

F.M.